Article DL du 07/04/2025
« Cerveau et électromagnétisme abordés dans une conférence » par Guy TESTYLLIER
Propos recueillis par Brigitte Géromin

Le dernier ouvrage de Valérie BRUN
"Des fleurs en eaux troubles"

Juin 1909, région grenobloise. Les rivières charrient soudain des cadavres de jeunes danseuses. Qui sont-elles ? Quels sordides secrets renferme leur fin tragique ? Quel rapport entre ces scènes de danse macabres, des ouvriers un peu trop engagés, un riche gantier élu municipal et un aristocrate russe ?
Des cabarets aux salons feutrés en passant par de sombres ruelles, Hector Dumas, commissaire à la treizième brigade régionale de police mobile, est déterminé à percer les mystères de ce ballet funèbre et à faire tomber les masques avant la fin de la partition.

Valérie BRUN est diplômée d’Histoire. Depuis 2011, elle se consacre à l’écriture. Elle a publié plusieurs recueils de nouvelles et romans historiques riches en suspense, « Bleu horizon », « La lignée rompue », et plus récemment « Neige pourpre » (éditions Zonaires) primé meilleur roman au salon du livre d’Allevard 2023. Elle anime aussi des conférences au cours desquelles elle développe les thèmes abordés dans ses fictions et dispense des cours à l’université inter-communale du Grésivaudan (IUCG).

Valérie Brun sera présente au Salon du livre de La Pierre dimanche 18 mai 2025 pour présenter l’ensemble de ses ouvrages et les dédicacer.

Au niveau de l’UICG, dans le cadre de la saison 2025-2026, Valérie animera le cours « La vie quotidienne en Isère entre 1914 et 1918 » (6 séances à partir de janvier 2026, le mercredi à Le Champ-près-Froges)

Dernier ouvrage d'Annie SERVANT
"Giflages"

Coécrit par Annie Servant et Claude Vella, le recueil Giflages , publié aux éditions Maïa, est une véritable invitation à se laisser surprendre. Le titre claque comme une évidence : il y sera question de chocs, de secousses, de ces événements infimes ou brutaux qui, soudain, dévient le cours des choses. Dès les premières pages, une introduction enlevée, sous forme de conversation espiègle entre Ésope et La Fontaine, donne le ton : l’ironie n’est jamais loin, et le plaisir de raconter y est manifeste. Ce recueil de nouvelles policières pas tout à fait comme les autres déroule un fil rouge : et si rien de tout cela n’était arrivé ? Chaque texte explore, avec style et finesse, une forme de “giflage”, qu’il soit météorologique, émotionnel, symbolique ou bien réel.

Chaque nouvelle est une petite scène du quotidien qui déraille, un jeu d’écriture à quatre mains porté par une belle complicité d’auteurs. À travers ces historiettes, on passe du rire à la noirceur. En 124 pages, Giflages réussit à saisir l’esprit du polar miniature, tout en jouant avec les codes du genre.

Membre de la Société des Écrivains Dauphinois, Annie Servant (Allevard – 38) a à son actif près de 25 d’œuvres publiées.
Membre également d’associations patrimoniales dauphinoises et de l’association littéraire savoyarde Enlivrez-vous-Yenne, ses réalisations littéraires lui ont valu de multiples récompenses notamment en 2019 le prix Antoine Chollier décerné par la Société des Écrivains Dauphinois et plusieurs prix pour des contes et nouvelles depuis 2020.
Elle reçoit en 2021, le Prix Charles Moulin (prix littéraire de la ville de Montélimar – Concours Juliette Astier) pour le conte Il était trois fois.

Annie SERVANT dispense des cours à l’Université InterCommunale Grésivaudan (IUCG) Dans ce cadre, pour la saison 2025-2026, elle animera le cours « Voyage légendaire en Grèce » (4 séances à partir d’octobre 2025, le mercredi Barraux)

Annie SERVANT sera présente au Salon du livre de La Pierre dimanche 18 mai 2025 pour présenter l’ensemble de ses ouvrages et les dédicacer.

Article DL du 10/03/2025
Emilie LEMATTRE, une paysanne herboriste en Belledonne​​​​​​​
Propos recueillis par Brigitte Gérom​​​​​​​in, correspondante DL pour l’UICG
 

Article DL du 28/02/2025
« Annie Servant, autrice éclectique et femme passionnée »
Par Brigitte GEROMIN

Article DL du 11/02/25
Benjamin BARDINET et Charlotte BONNIOT
"Art et science réunis dans une conférence et un film"

Article DL du 17/01/2025
« Catherine Gamby-Garrigos, restauratrice d’œuvres peintes »
Propos recueillis par Brigitte GEROMIN, notre partenaire DL

Article DL du 06/11/2024
Marie Prévost démocratise les neurosciences
Interview mené par Brigitte GEROMIN, notre partenaire DL

Article DL du 23/11/2024
Yves Santamaria publie un nouvel ouvrage : "Blue Notes"
par Brigitte GEROMIN, notre correspondante DL

Rubrique Grésivaudan 
Yves Santamaria publie un nouvel ouvrage : "Blue Notes"
Propos recueillis par Brigitte Géromin 

Yves Santamaria, maître de conférences émérite à Sciences Po Grenoble, est un homme plein d’énergie, cultivant avec appétit ses goûts divers, de la musique et du chant à l’écriture, en passant par l’enseignement à l’UICG (Université intercommunale Grésivaudan). Rencontre avec un passionné des arts sous toutes ses formes.

Yves Santamaria présente son dernier livre, édité par l’Université intercommunale Grésivaudan (UICG), 
Blue notes, un orchestre du Sud (1967-1973).

Comment êtes-vous entré à l’UICG ?
Yves Santamaria : « Je suis entré dans l’association grâce à un collègue de la fac, Olivier Forlin, maître de conférences en histoire contemporaine, qui m’a donné l’envie de cet enseignement populaire. J’y suis maintenant depuis une dizaine d’années, avec pour cette session, deux cours : “Les sociétés européennes et la guerre” à Froges, et “Géopolitique du Moyen-Orient contemporain” au Cheylas. J’aime bien parler de ce que je connais et suis heureux de voir des personnes très motivées suivre mon enseignement. Cela me touche beaucoup. »

Vous éditez votre dernier livre à l’UICG. Pourquoi ce choix ?
« J’ai, à ce jour, publié une dizaine de livres dans différentes maisons d’édition. L’UICG m’a demandé d’éditer un ouvrage sous leurs couleurs. Je leur ai proposé un sujet original, mon expérience avec les “Blue notes”, groupe de musique né en 1967, année importante dans l’histoire du pop et du rock, avec les Beatles, Jimi Hendricks, etc. À l’époque, nous avions entre 16 et 18 ans, deux gars de Lunel (Hérault), pieds-noirs et des jeunes du coin, c’est une mayonnaise qui a très bien fonctionné jusqu’en 1973, date à laquelle je suis parti pour mon service militaire. En 2009, pour mes 60 ans, j’ai remonté le groupe à Lunel. Parallèlement, j’ai formé un trio dans la vallée, avec Anke, chanteuse de Sainte-Marie-d’Alloix et Nicolas, professeur de batterie à l’école de musique du Touvet. Ce groupe “Good times now” se produit une quinzaine de fois par an en Isère, Savoie et Haute-Savoie. Pour ma part, j’ai appris sur le tas, en regardant et écoutant les autres. Je suis chanteur, guitariste, bassiste et touche un peu de claviers. »

Allez-vous participer à des fêtes ou salons ?
« L’UICG sera présente sur deux marchés de Noël, pour promouvoir ses activités et présenter les derniers ouvrages publiés chez eux. Ces marchés auront lieu samedi 30 novembre, à partir de 10 heures, sur la place de la mairie de Sainte-Marie d’Alloix, et dimanche 8 décembre, de 10 heures à 17 heures, dans la salle du Bresson du Touvet. Bien entendu, je passerai dédicacer mon ouvrage sur ces deux rendez-vous. »

Renseignements : www.uicg.fr 

Qui est Yves Santamaria ?
« Je suis né à Alger en 1949, dans le quartier de Bab El Oued, cœur de l’immigration populaire, notamment espagnole. Mes grands-parents paternels étaient espagnols, et mes grands-parents maternels, un mélange d’espagnol et de maltais. Établie en Algérie dès la conquête, dans les années 1840, ma famille a dû rentrer avec la vague de 1962 et s’est installée à Lézignan-Corbières, entre Narbonne et Carcassonne, puis à Lunel. Après ma maîtrise de Lettres modernes et mon service militaire, j’ai fait de nombreux petits boulots, et beaucoup de militantisme politique. J’ai ensuite fondé une famille. Il a donc fallu que je trouve un emploi pérenne. J’ai repris mes études, cette fois en histoire, et j’ai fait la totale jusqu’à l’agrégation. À mon arrivée à Grenoble en 2002, j’ai travaillé à l’IUFM, à la fac et terminé ma carrière à Sciences Po. J’ai bossé de 1967 jusqu’à ma retraite en 2017, 50 ans exactement.»

Article DL du 30/10/2024
Rémi Engelbrecht : « J’ai eu envie de faire bouger les lignes »
Propos recueillis par Brigitte GEROMIN

Article DL du 29/10/2024 
« Criminalité à la Belle époque » : un cours pour tout savoir »
Propos recueillis par Brigitte GEROMIN